Roma Antiquus Sujet: Panem et circenses!! ~ Roma ~ [complète] Dim 17 Mai - 23:58 « Seule l'histoire n'a pas de fin... pour preuve: moi qui fut le plus grand, j’en ai eu une... » • Nom & Prénom : Regulus Amalricus • Nation : Ancienne nation : Rome Antique • Date d'anniversaire : environ le 21 avril 753 ( si sa mémoire est bonne) • Continent : Europe – Afrique Nord – Ouest Asie • Aime : Les femmes, les femmes et encore les fem…oui oui il aime autre chose aussi : le vin, la gloire, les combats, les guerres, les victoires, la bonne nourriture, l’art, les hommes d’ambitions, les fêtes, l’architecture, les spectacles en tout genre, les hommes aussi, le miel, les voyages, la littérature, se prélasser, les Grecs… • N'aime pas : quand il n’a pas ce qu’il veut, les défaites, l’ennui, les personnes qui le défient, ceux qui embêtent ses petits fils, quand on lui résiste (ça dépend de la personne, du sexe et surtout de c'est) • Autres : Il aime bien jouer à l’apprenti herboriste. • Avatar : Empire Romain Hetalia ( ou Rome Hetalia) sur google • Code de validation : Code validé
Il faut savoir laver sa toge sale en famille. La folle jeunesse:
Italie du Nord : Ce petit fils a vraiment bien grandit : poli, courtois, propre et joli comme un cœur! Il aime plus que tout Feliciano ! Il devient papi gâteau et s’inquiète pour lui. En général quand il descend sur Terre, c’est pour le revoir.Italie du Sud : Le second et capricieux en plus. Rome l’a tout de même pris sous son aile. Ils sont en bon terme mais sans plus.Allemagne : Il reste soupçonneux. C’est un jeunot de Germanie après tout. Mais si Feliciano s’est autant attaché à cette copie du barbare blond, c’est qu’il doit avoir un bon fond tout de même ? Enfin, Rome n’est pas encore réellement convaincu. Une batterie de test est en cour de préparation.France : La famillia est dispersée. Rome garde une bonne estime de ce "petit fils" légitime ou illégitime? Le vin peut être fatal... France a participé à la conservation de sa gloire passée.Les antiquités : La carte des Antiquités: Germanie : … il le déteste. Enfin le détestait. Parfois cela dépend des jours. Germanie n’a pas le sens de l’humour et ne possède pas spécialement de loisirs oisifs. C’est un barbare de toute façon. Il n’est pas civilisé. A par couper des têtes et boire… il ennuyant et parfois pas intéressant. Roma n’aime pas l’ennui. Mais il aime bien lui parler de temps à autre. Grèce Antique : L’amour de sa vie. Enfin, il a aussi d’autres conquêtes, mais Grèce Antique reste sa préférée. Il aime son intelligence et sa culture, son art et sa philosophie. Il aimerait passer à nouveau des heures à l’écouter ou à sculpter avec elle. Rome a cependant des difficultés avec le côté froid et patient de Grèce Antique.Gaule : Une conquête bien difficile à posséder, mais une fois le bras de fer terminé, elle lui est quasiment tombée dans les bras. Enfin presque, parfois il se prend encore des roustes. Rome aime commercer avec elle et apprécie beaucoup son art. Ils ont créé beaucoup de choses ensemble. Malgré des débuts très difficiles, ils entretiennent une amitié profonde.Egypte : Une de ses conquêtes préférées. Il aime bien lui « emprunter » certaines œuvres d’art pour faire « joli » chez lui. Comme les obelix(sque) dans les cirques. Elle est vraiment gentille (à moins qu’elle mette en avant cette gentillesse juste pour le commerce ?)Etrurie : une dame bien charmante quand elle décide de rester calme. Rome lui accorde une certaine amitié dû à un long passé en commun. Il n’aime pas quand elle parle avec Gaule… c’est mauvais pour lui. Par la suite, Roma et Etrurie travaille ensemble. Elle habite chez lui. Il faut ajouter qu'autrefois, ils n'étaient pas en très bon terme.Ibérie : Rome l’aime bien seulement quand elle est dans ses bons jours. Sinon elle peut devenir plus terrifiant et rebelle que Gaule.Britannia : Elle lui a toujours résisté. Il ne l’apprécie guère mais sa beauté sauvage lui fait un certain effet.Carthage : Tout d'abord un allié très sympathique puis il est devenu une gêne et l'ennemi public numéro un. Les relations qu'entretiennent Roma et Carthage sont houleuses. "Il faut détruire Carthage!"Mens sana… un esprit sain… Les légendes racontent que dans chaque peuple naît un élu. A sa naissance, Almaricus fut présenté aux prêtres et aux dieux. Ils virent en lui une longue destinée, un chemin de gloire et d’embuches, une vie d’un demi-dieu. Le petit fut donc élevé en roi. Les traces de cette éducation et la mentalité romaine ont martelé sa conscience et sa façon d’agir. Il ne se prive de rien et déteste l’ennui. C’est un personnage parfois sans-gêne ; un trait de caractère qui est interprété comme une mise en scène par certains afin d’attirer l’attention sur lui. Il est très confiant envers lui-même et n’hésite pas à exprimer ce qu’il pense, que cela plaise ou non. Almaricus aime quand on le regarde, quand on parle de lui, quand on le complimente etc… cet homme aime s’imposer, être vu par toute la foule, toute la population. Almaricus adore rendre son entourage heureux par n’importe quel moyen. Certains se sont demandé si Roma s’était inspiré des empereurs ayant pour but secondaire de faire plaisir à leur peuple en leur offrant des jeux et des architectures. A moins que ces dits empereurs se soient inspirés de Roma ? Ce dernier aime le sourire des gens. Il fera beaucoup pour obtenir ces traits de visage ou les rires d’une personne, à tel point qu’il peut devenir collant et embarrassant (ce qu’il est déjà au quotidien, mais imaginez le, pensant être investit d’une mission divine dont rien ne le fera fléchir et vous aurez un aperçu de son acharnement). C’est une personne du Sud, quelqu'un de chaleureux. Les grands écrivains et empereurs de toutes époques le décrivent comme une personne respirant la joie de vivre. Parfois il avait ses moments de solitudes et tristesses mais il arrivait toujours à les dissimuler par diverses excuses. Almaricus a quelques loisirs oisifs. Il adore la musique, les arts, le vin, la bonne nourriture, le sport, les bains, la détente les femmes et les hommes etc… la liste est longue. Tout cela l’aide particulièrement à dissimuler ces faces cachées comme dit précédemment, ses moments de tristesses et de nostalgies. Il n’est pas du tout timide, au contraire, il s’assume totalement : certains on retenu ses poèmes chantés à tue tête en pleine rue ou lorsqu'il exprime son admiration parfois exagérée. Si le ridicule tuait, Rome aurait disparut depuis longtemps, chuchotaient les mauvaises langues. Almaricus n’aimait pas la critique. Il était très dur à ce sujet. Ceci est peut-être dû à son côté légèrement narcissique et son égo bâtit sur les mêmes mesures qu’un temple. A tel point qu’il n’hésitait pas à bannir certains ou mettant à mort d’autres dans le pire des cas, lorsqu’il en avait encore le pouvoir. Un adage disait : tout dans les muscles et rien dans la tête. Roma s’empressera de vous dire que comme Romulus et Remus, il est une exception à règle. C’est un fin stratège, un guerrier utilisant toutes ses capacités pour voir son adversaire manger chaque grain de sable ou de terre souillé par le sang. Son ambition dépasse largement l’imagination. Il aime aussi bien réfléchir et se battre à coup de discours devant une carte afin d’adopter la meilleure stratégie que de partir sur le terrain, le glaive dans une main et le bouclier dans l’autre. Il peut aussi bien être sérieux que totalement déjanté. Son côté sérieux est visible essentiellement pour les situations qui le touche ou ciblant une personne lui étant chère à son cœur. Il se peut parfois qu’Almaricus devienne aussi froid que de la glace et légèrement insensible. Mais ses états sont rares. Il utilise son sérieux aussi pour convaincre son monde. L’art de la manipulation et surtout du mensonge n’ont quasiment plus aucun secret pour lui. …in corpore sano …dans un corps sain. Etant donné qu’il est aussi un homme de terrain, son physique correspond aux traits d’un maître guerrier. Il reste néanmoins un homme du sud : de taille moyenne, les cheveux légèrement ondulant de couleur brun foncé et ocre sombre à la lumière vive. Une mèche rebelle un peu plus longue que les autres s’enroule sur elle-même. Ses yeux sont ocres virant sur le brun. Un regard espiègle. Les sourcils sont fins et bruns comme ses cheveux. Ses mèches de cheveux balayent de temps à autres son front cachant quelques petites cicatrices. Almaricus porte une barbe de quelques jours, proprement taillée. Son visage est marqué par l’expérience du passé. Ce n’est plus une peau toute jeune et lisse. Corporellement, Almaricus est bien bâtit. Les entraînements et les combats l’ont endurci. Sa peau est dure et marquée par des cicatrices observables sur tout son corps dont certaines très voyantes au niveau du dos. Ses épaules sont larges et musclés. Ses bras le sont aussi. Le maniement du glaive et des armes comme la lance lorsqu’il était enfant, ont sculptés ses membres. Certains pensent qu’il a été le modèle de sculpteurs grecs et romains. Ses mains aussi étaient plus grosses que la moyenne romaine et pouvaient exercer une certaine pression, broyer certains objets et ébouriffer les cheveux des demoiselles. Les tablettes de chocolats figurant sur son plastron étaient beaucoup plus marquées que ce que lui même possédait. Certes, les combats et les entraînements avaient formé son corps et son esprit. Même lorsqu’il ne s’entraînait pas pendant quelques mois (pendant les périodes de paix ou lorsqu’il préférait papillonner ailleurs), sa musculature ne se perdait à peine : ses jambes, ses cuisses gardaient un certain volume arrondit. Du côté vestimentaire, il porte des sandales : des caligaes ou solae. Lorsqu’il se bat il porte des calcei. Du côté des drapés, il possède une large « garde robe ». La distinction sociale était prépondérante. Roma qui incarne tout le peuple possédait donc un peu de tout. Il portait habituellement la toge pendant très longtemps, montrant sa majorité et son statut de citoyen libre. Souvent rectangulaire et large, les toges qu’il possédait avait des couleurs variées ; sa préféré restait la toge rouge foncée généralement resserrée contre son corps montrant son appartenance à l’armée (nota: normalement ; je peux me tromper). Se vêtir pour sortir prenait généralement du temps. Lorsqu’il était chez lui ou dans ses moments de relaxations, il portait des tuniques en lin avec ou sans manche. En hiver, Almaricus portait plusieurs tuniques les unes au-dessus des autres ainsi qu’une lacerna en laine de couleur pour avoir plus chaud et cacher toutes ses épaisseurs de tuniques.Narras historia - Roma, Roma, Romaaa! Almaricus, le coude posé sur la rambarde du balcon, le menton dans sa paume de main et le regard dans le vide semblant fixer un point dans l’horizon, il pivota légèrement la tête vers le nouveau venu, qui ce dernier après avoir couru, reprit son souffle avachit sur la même rambarde. - Mouiii… - Fait pas cette tête là voyons ! Enfin bon, écoute ça, cela va … quoi encore ? - Bof rien, je t’écoute. …L’empereur Néron était habillé de sa traditionnelle et majestueuse toge rouge et blanche un peu tâchée par le vin ainsi que la graisse de certains plats. La particularité de cet homme était d’avoir les cheveux blonds légèrement dégradés et les yeux bleus. Les romains étaient en général plus foncés que ce soit de peau, de cheveux ou de yeux. Les excès quotidiens et son statut d’empereur avaient eu raison sur sa physionomie : le ventre rond et le cou plus imposant que la moyenne juraient grossièrement avec ses fines jambes. Sa peau dorait légèrement, mais sur certaine partie de son corps, quelques tâches apparaissaient. Il n’incarnait plus la folle jeunesse. Sauf peut-être son esprit… et encore. L’empereur pivota sur lui-même et s’accouda à demi sur la rambarde de protection ; il fit un geste en direction de la nation, le pointant du doigt ; un sourire pas spécialement ravageur mais malicieux apparut sur son visage : - Haha, petit malin, tu pense pouvoir TOUT ME cacher ! Mais JE ressens ta détresse, elle m’inspire d’ailleurs ; attends j’ai quelque chose sur le bout de la langue… Roma le regarda, haussant un sourcil. Il semblait réellement avoir quelque chose sur le bout de la langue et pas encore un de ces poèmes ou chants. - Attfend… fa vient….pas en faite… aaah … Les tirades et poèmes de deux millions de pieds de Néron mettaient parfois la nation de mauvaise humeur. Depuis que l’empereur s’était découvert un « don », il chantait et composait à qui veut l’entendre dans la domus. Cela faisait quelques mois que ce manège durait. Pour Almaricus, le pire était que son supérieur avait trouvé son public. Il en faut pour tout le monde lui répétait Sénèque, patience. Mais la nation savait très bien ce que pensait le précepteur : personne ne voulait se faire exécuter. Du coup, chacun prit sur soi afin « d’apprécier » les exercices artistiques de l’empereur. Il fallait supporter un personnage ne sachant pas lui-même écrire ses discours politiques alors qu’il composait ses propres poèmes. Almaricus en était fatigué. Même les cris de Gaule totalement saoule ne lui donnait pas un aussi gros mal de crâne. - C’est bon ! Es-tu prêt à m’écouter ? - Je ne fais que t’attendre. L’empereur le sourire aux lèvres, sortit sa lyre richement décorée à la feuille d’or, qu’il avait précieusement en main sous la large et longue « manche » de sa toge. Il joua du bout de ses doigts boudinés quelques notes de musique. Il s’arrêta un instant. Il profita du silence et d’une brise de vent. L'empereur frôla les cordes de son instrument puis, comme si Phébus (~Apollon) s'était servit de ce léger vent pour envoyer un soupçon de créativité, il se lança : « Depuis la nuit des temps, L’homme se laisse mener par ses sentiments. Colère, Tristesse, Terreur, Amour, Satisfaction, Ferveur, Sagesse ! Ils ne nous l’apportent aucunement, Humanité ! Ils nous la donnent seulement »
Les dernières notes moururent. Le silence fut de nouveau le maître des lieux. Almaricus releva que Néron, les yeux fermés comme si il semblait apprécier ce silence qui avait englobé ses dernières notes, attendait quelque chose. Roma de toute sa hauteur, le regard légèrement voilé, fit face à l’empereur. Il leva légèrement ses avant-bras, ses mains se fermèrent et s’ouvrir puis se rapprochèrent. Un bruit de claquement se fit entendre. Almaricus applaudit lentement. - Très bien, on voit que tu as fait des progrès. Alors, c’est pour quand la grande représentation chez la demoiselle Grèce ? Lorsque Néron ouvrit les yeux, Rome avait cessé ses applaudissements, les paumes de ses mains étaient les unes contre les autres. Le visage jovial et tout sourire, le jeune homme avait ajouté une touche d’humour dans sa phrase. Il avait suffisamment bien tourné cette dernière et fleurit son ton pour que l’empereur ne puisse remarquer que des compliments et un peu d’humour. Or la moquerie était réelle. Même si il serait très heureux que Néron puisse partir pour se produire là bas, un jour peut-être. Est-ce pour s’en débarrasser et pouvoir souffler ou bien par fierté car cela ne s’était encore jamais réalisé ? Almaricus lui-même ne le saurait. Il restait partagé. Cette sensation de ne pas savoir réellement ce qu’il pensait, ce partage, il ne l’aimait pas. Même ce moment d’hésitation pour applaudir faisait partie de ce sentiment qui le partageait. Pour lui cela signifiait qu’une faible partie des humains romains soutenait encore Néron et une autre aimerait bien le voir mort. Il se souvint alors d’une conversation qu’il eut avec Grèce. Encore une de ces conversations philosophiques qui donnaient naissance à de diverses questionnements au fur et à mesure: est-ce que les représentants des peuples possédaient-t-ils un libre arbitre ? Pensaient-ils par eux même ? Leurs gestes, décisions, ressentis, paroles, tout ce qui les rapproche des humains, étaient-ce réellement eux-mêmes qui les exécutaient ? Est-ce qu’ils étaient des coquilles vides remplit des idées, des sentiments, des décisions et choix des humains influençant alors sur eux ? Est-ce qu’ils étaient des marionnettes ou des personnes réelles qui avaient la liberté de pouvoir choisir, décider de ce qu’ils voulaient, comme les civils ? Almaricus se souvint. La première fois qu’il l’avait rencontré, il ne comprenait pas pourquoi elle se posait autant de question. Il était jeune et il préférait profiter de la vie. Depuis quelques temps ou depuis qu’il la possédait, naissait rapidement en lui une admiration de plus en plus forte. Elle savait mêler le sérieux, la philosophie à l’amusement et aux plaisirs de la vie. Il tentait parfois de s’en inspirer. Mais ces loisirs oisifs et ses batailles l’appelaient et Roma ne pouvait s’empêcher de les rejoindre. - C’est une très bonne idée ! Je vais envoyer un message de suite ! Toi aussi tu as trouvé que j’avais progressé. Il est temps que je me dévoile mes talents aux Provinces ! …. Néron le sortit de ses pensées. Roma se retint de rire : il l’avait pris au sérieux ! - Que je fasse profiter à tous de mon exceptionnel talent ! - Et moi je t’accompagnerai sur scène pour chanter avec toi ! - Ah non, tu ne feras que gâcher ma magnifique prestation… -…Quoi ?! Bon si c’est comme ça, je me venge et tu viens avec moi participer à l’élaboration de notre prochaine stratégie militaire qui se passe en ce moment même ! - Ah non je.. ! Lâche- moi ! Oooh! Mais les protestations de l’empereur étaient noyés sous les rires d’un Roma victorieux l’ayant pris par le bras et le tirant vers avant afin d’aller à leur lieu de rendez-vous.Qui est derrière l’écran ? • Surnom - Lyn • Comment avez-vous connu le forum ? - Facebook • Votre niveau RP ? – Il m'arrive de ne pas m'exprimer correctement. En général mes rp sont bien apprécié par les membres. A vous de juger. • Une autre chose à dire ? – J’aime les chats et les pastèques. Plus sérieusement: C'est la première fois que je joue ce personnage (je me suis spécialisé dans la branche germanique). De plus pour ce personnage, je m'inspire aussi bien du manga/anime que de la Rome Antique (licence archéo oblige; et encore, je n'ai pas le savoir absolut donc il est probable que je fasse des fautes) doonc si jamais vous pensez trouver des choses bizarres en rp ou dans cette feuille, faite moi signe et je vous expliquerai.
Dernière édition par Roma Antiquus le Lun 29 Juin - 21:06, édité 10 fois
Roma Antiquus Sujet: Re: Panem et circenses!! ~ Roma ~ [complète] Dim 21 Juin - 20:58 Je m'excuse du double post mais c'est pour prévenir que j'ai fini. Je n'ai pas fait d'arrangement pour l'instant car dès que je modifie qlqch, tout ce que j'ai souligné et mis à la ligne disparaît. Donc si il y a encore des fautes, je les corrigerai et quand tout sera corrigé, je mettrai de l'ordre là dedans ;D Merci de votre compréhension!