Austria | Sujet: Autriche | Il ne tient qu'à vous de lire un ramassis d'imbécillité. Dim 31 Mai - 23:13 | |
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• Who I am ? • | Nom & Prénom : Edelstein Roderich Nation : Autriche Âge : 26 octobre/ Dans la vingtaine Continent : Europe Aime: Le calme, la musique, les viennoiseries. N'aime pas : Le gaspillage, ce braillard de Prusse. Code de validation : Validé Relations : Allemagne: Hm, il faut bien admettre qu'il t'a aidé à plusieurs reprises, et que tu profites généralement de la situation en te reposant un peu -beaucoup- de la situation. Après tout, c'est une des rares personnes qui vient encore te rechercher quand tu t'es perdu à Pétaouchnock-les-Oies.
Hongrie: Une des personnes avec qui tu es le plus proche, très certainement et ce, malgré la dissolution de votre alliance et mariage. C'est plutôt bien de nos temps de trouver quelqu'un capable de supporter ton caractère.
Prusse: Autant ne même pas aborder le sujet. Il t'horripile, tout simplement. Et moins tu le vois, mieux tu te portes.
Italie: Tu l'as élevé alors qu'il n'était encore qu'un enfant. Peut-être pas de la meilleure des manières, mais au moins tu as essayé.
Suisse: On pourrait le qualifier d'ami d'enfance. Cependant, vous vous êtes éloignés, et malgré ce que vous avez pu vivre ensemble, il semble nier votre ancienne amitié.
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• Physique • | | Au premier abord, Roderich est plutôt banal. Quoi de plus normal qu’un homme brun ? A vue de nez, je dirais qu’environ 40% de la population mondiale est brune, 20% est blonde, 39% ont des cheveux noirs – principalement made in asia- et 1% est rousse, ce à quoi je dirais que ce qui est unique et précieux, les roux sont donc précieux, et le joueur de Horizon 2.0 se nommant Précieux et portant un masque est donc roux. Et si vous ne connaissez pas Noob, votre vie ne vaut pas plus que celle d’une huître. L’autrichien est donc brun et voit la vie en Mauve, non seulement parce qu’il lui arrive de porter une longue veste de cette couleur, mais aussi parce que ses yeux brillent d’un mauve chatoyant. Le jeune homme –façon de parler- n’a pas spécialement un teint que l’on pourrait qualifier de hâlé, passant la majorité de son temps à l’intérieur, ou encore à l’ombre, les maigres fois où il daigne enfin pointer son nez en dehors de sa demeure.
Aussi, il porte une couche de vêtements assez conséquente et qui semble venir d’un autre siècle. Généralement, il préfère porter une chemise blanche surmontée par une longue veste, s’arrêtant plus ou moins à la hauteur de ses genoux. Sa chemise est nouée par une simple lavallière blanche, afin qu’elle soit accordée avec sa chemise. Très important ça le raccordement. Non mais sincèrement, vous feriez confiance à un banquier qui en plus d’avoir une cravate verte avec sa chemise jaune pâle, porterait deux chaussettes différentes, de couleur hideuses et complètement opposée ? Non. Et je réponds pour vous si je veux. Quant au reste de son habillement, il n’a pas grand-chose de très spécial, il faut bien l’avouer. Vu la longueur de sa veste, qu’il porte la plupart du temps, à moins qu’il ne fasse vraiment chaud, et la longueur de ses bottes, qu’il met par-dessus son pantalon, inutile de perdre du temps à devoir remonter ce dernier pour ensuite se chausser et enfin le redescendre si ça va tout aussi bien en les mettant par-dessus, il vous sera assez difficile de savoir de quelle couleur est son pantalon aujourd’hui. –Quel dommage.- Alors à moins d’essayer de lui faire enlever, ou d’enlever à sa place, sa veste et/ou ses bottes, ce que je vous déconseille quand même de faire, vous resterez dans le doute et serez condamnés à mourir sans avoir de réponse.
Laissons-donc un peu en paix ses bottes, ainsi que sa veste, quelques instants et concentrons-nous plutôt une nouvelle fois sur sa tête, qui si vous ne le voyez qu’une seule fois de votre vie, ne risque pas d’attirer ni retenir votre attention. A moins que vous ne reteniez toutes les personnes portant des lunettes. Auquel cas, il restera dans votre mémoire comme étant le brun effarouché aux lunettes à la demi-monture-qui-ne-se-trouve-que-sur-le-bas-parceque-le-haut-c’est-pas-beau-et-laissez-moi-faire-mon-néologisme ( Et si vous le retenez grâce à ses lunettes, il n’en sera que plus heureux, la seule raison pour laquelle il en porte, n’est pas pour corriger sa vue, mais simplement pour mieux paraître). Avec un grain de beauté. Peut-être. Mais bon, il faut bien avouer qu’au niveau des traits du visage, il n’a rien de bien particulier, si ce n’est peut-être leur finesse, lui donnant un air quelque peu efféminé.
A vrai dire, ce qui risque plus de vous choquer, ou de retenir votre attention, tout dépend de ce que vous trouvez choquant ou non –tant de logique dans mes propos- ce seront peut-être les airs de l’autrichien. Même si au premier abord il pourrait vous paraître calme, voir même flegmatique, vous vous rendrez vite compte que l’on peut lire en lui comme dans un livre ouvert. Pas besoin de se casser la tête à savoir de quelle humeur il est, cela se verra de suite à sa moue, ou à son regard. A moins que ce ne soit à ses joues, qui ne se gêneront pas non plus pour rougir à la moindre occasion. Ses cheveux quant à eux sont constamment bien coiffés –Si vous n’aimez pas les personnes prenant trois heures le matin dans la salle de bain, n’envisager même pas de passer une journée avec Roderich- mis à part une mèche rebelle, j’ai nommé Mariazell. M’enfin, nous n’allons pas nous attarder des heures dessus. Et sauter de suite à la conclusion. Bien que prêtant pas mal d’attention à son paraître, en essayant d’avoir l’air le plus chic possible – un aristocrate de ce nom ne peut définitivement pas se vêtir d’un sac à patate, même si ce sont des patates de luxe- il ne faut pas vraiment s’y fier et conclure qu’il ira dépenser une somme faramineuse dans ses vêtements, bien au contraire, en creusant un peu, vous découvrirez qu’il s’agit de quelqu’un de plutôt sobre avec des habitudes de vie un peu –beaucoup- frugales. | |
| • Caractère • | | « Même dans la misère, j’ai vécu comme un roi. La noblesse est le fondement de ma vie. » - Soi-disant de Beethoven.-
Ça, c’est surtout ce qui se voyait extérieurement. Maintenant on en est plus là, nous en sommes à son caractère. Faut un peu suivre hein. Autant vous prévenir tout de suite, si vous prenez le temps de connaître l’autrichien, son caractère se dévoilera assez vite à vous, n’essayant pas spécialement de le cacher. Après tout, il s’agit de quelqu’un de très simple, qui ont pourrait penser, n’est pas si difficile à vivre. Mais ça c’est ce que l’on se dit dans un PREMIER temps. Le temps où il suffit de le supporter quelques heures seulement, et non plusieurs jours. Allez un peu demander à Allemagne si c’est un bon colocataire, le Roderich. Déjà qu’il n’en voulait pas à la base.
Mais restons tout d’abord sur les points positifs de son caractère. Si il y en a. Bien qu’ils puissent cacher des points négatifs, j’en conviens. Par exemple, son calme. Son calme olympien, qui semble inébranlable – mis à part si on le surprend à faire quelque chose qui ne cale pas sur son image d’aristocrate- se révèle en fait être…Une flegme. Mais pas n’importe laquelle. La flegme des flegmes. Imbattable. Si vous arrivez à le faire bouger de son fauteuil ou de son piano, vous avez tout réussi dans votre vie. Moins il en fait, mieux il se porte. A un point que c’en est affligeant. Se faire à boire ? Non. Si personne n’est là pour le lui faire, il trouvera une bonne poire. Idem s’il a faim. Bien qu’ayant un certain talent pour tout ce qui touche aux pâtisseries, il n’aime pas trop mettre la main à la pâte. A moins de vouloir recevoir des compliments.
Il faut dire qu’il a toujours été habitué à être servi. Il ne s’attend pas spécialement à ce qu’on lui donne quelque chose de grandiose, étant lui-même radin et faisant attention à ses dépenses, mais il s’attend à ce qu’on lui obéisse et fasse beaucoup de choses pour lui. Quasiment tout même. Pourquoi donc devrait-il s’abaisser aux basses besognes de la populace ? –Oui VOUS êtes de la populace.- Et quand on dit tout, c’est tout. Ce qui a eu pour conséquences que Roderich premièrement n’est pas débrouillard pour un sou, dès qu’il s’agit de faire quelque chose, il ira s’appuyer sur quelqu’un d’autre, deuxièmement, il ne quitte pas spécialement sa demeure, et troisièmement, il n’aime pas spécialement sociabiliser, sauf quand il y est contraint, et qu’il a besoin de l’aide de quelqu’un.
Attaquons-nous au premier point voulez-vous. Débrouillardise ? Connait pas. Tout comme le sens de l’orientation. Vous êtes perdu ? N'allez pas lui demander votre chemin. A moins que vous ne vouliez mourir de faim, de froid, à l’autre bout du monde, ou alors de finir par vous suicider en le voyant faire comme si il connaissait parfaitement le chemin, alors qu’il se perd lui-même dans sa propre maison. Oui. Affligeant. Vous pourriez lui offrir une boussole et une carte pour son anniversaire que…Que…Gardez votre argent. Sincèrement. Ne faites pas quelque chose d’aussi stupide et payer lui un guide à la place. Et ne lui demandez jamais votre chemin. Jamaaaaais.
Pour le deuxième point, il est casanier. Pas le petit casanier de campagne qui ne restera chez lui que le soir en rentrant du travail et qui sort le week-end. Non non. Lui c’est le casanier qui ne sait MEME PAS dire le nom du village voisin. Ni la couleurs de la maison du voisin. Ni si la serre de son jardin est encore en bon état. Ca-sa-nier. Il ne vit que pour trois choses. Son piano, son café, son fauteuil. Point final. Le reste peut aller se faire voir. Mais il faut bien avouer, que s’il ne sort pas souvent, voire pas du tout, c’est pour éviter aussi de se perdre. La dernière fois qu’il a essayé d’aller faire des courses était plutôt mémorable. Donc à moins de trouver une belle excuse, il n’ira pas bouger son royal fessier de sa royale demeure. Certainement pas pour vous.
La socialisation ça, on ne va même pas en parler. Non pas qu’il n’aime pas spécialement parler, simplement qu’il est trop timide pour faire le premier pas. Et qu’il a parfois du mal à parler aux personnes qu’il ne connait pas. Une fois qu’il les connait assez, cette timidité s’envole et laisse place à…A un parasitisme et mauvaise foi exceptionnelle. Môsieur est le parfait petit aristocrate, ne l’oubliez pas. Et quand on peut profiter des autres, pourquoi ne pas le faire ? Ca nous fait faire des économies. Et les économies c’est important. Le gaspillage, c'est mal. Et ce n’est pas son voisin Vash (Vaaaacheuh !) qui ira dire le contraire. Enfin. Si vous êtes allergiques aux personnes qui donnent des ordres, même si c’est le ton le plus poli possible, ne restez pas trop longtemps aux côtés de Roderich, il risquerait de vite vous énerver, même si ce n’est pas son premier but.
Après tout, il veut tout simplement bien faire. Si il se permet de vous reprocher quelque chose, c’est généralement pour votre bien, même si vous ne le prenez peut-être pas de la même manière. Il ne possède peut-être guère les performances afin d’être le combattant idéal, mais vous vous doutez bien qu’il compense autre part. –Mesdemoiselles, (et Messieurs si intéressés) je vous déconseille fortement d’aller vérifier cette information en-dessous de la ligne équatoriale, au risque de vous prendre une poêle de plein fouet- Et pas uniquement dans ses doigts. –pour le piano. Précisons avant de paraître trop graveleux.- Il possède une certaine instruction, et n’hésite pas à essayer de la partager, tout comme son mode de vie, de la manière qu’il trouve comme étant la meilleure. Et autant vous dire de suite qu’il ne le vous dira pas en vous prenant la main et en vous parlant lentement comme on le ferait avec un enfant de bas-âge. Si vous ne l’aviez pas encore compris, il tient à son image, et s’impose des règles, qu’il aura tendance aussi à vous imposer. | |
| • Test RP • | | Gauche ou droite ? Telle était la question. Et Dieu seul sait ô combien elle pouvait être importante à l’instant présent. Il devait prendre une décision, et ce le plus rapidement possible. Et si il pouvait au passage choisir celle qui était juste, ce serait encore mieux. Il le savait, il n’avait jamais eu un quelconque sens de l’orientation, mais de là à se perdre dans sa propre bâtisse, ça commençait à bien faire. Il opta donc pour la gauche. Le tapis semblait nettement plus accueillant et, sincèrement, le pot-de-fleur qui se trouvait sur le meuble à droite ne lui inspirait nullement confiance. Il vaut mieux ne jamais se fier à un pot de fleur qui, sous ses airs, peut se révéler extrêmement dangereux, voir même meurtrier dans certains cas.
Quoiqu’il en soit, bien qu’il avait eu l’air plutôt sur de lui en prenant le chemin à sa gauche, il ne se souvenait strictement pas de la porte un peu plus loin, et encore moins où elle donnait. Et il était strictement impossible que qui que ce soit, soit venu en douce afin d’ériger une nouvelle pièce durant la nuit. Il avait juste dû oublier son utilité, voilà tout, c’était la seule solution. Il faudrait quand même un jour qu’il fasse un effort afin de retenir le bon chemin, ce serait quand même nettement plus pratique que de passer les trois quart de son temps à errer dans des couloirs en espérant que, par miracle, il atterrisse au bon endroit. Ce qui était rarement le cas. Ou alors, encore plus simple, il faudrait penser à flécher les pièces. Ça lui éviterait d’avoir le problème de chercher son chemin, en plus de devoir le retenir, parfait. Maintenant, c’est certain, ce serait tout sauf esthétique. Et il serait dommage de casser la beauté du lieu avec de quelconques panneaux.
De toute manière, au point où il en était, il n’avait pas d’autres choix que de continuer par lui-même son errance, et espérer un jour arriver à son but. Mais il ne s’en faisait pas tellement, il avait toujours réussi à l’atteindre, peu importe le temps qu’il y mettrait. Et puis si ça se trouvait, il n’allait pas tarder à croiser quelqu’un, qui lui indiquerait gentiment le chemin à prendre. Ou même qui l’accompagnerait, de peur qu’il oublie les indications données. Ce qui n’était pas rare à vrai dire. On pourrait le qualifier de cas désespérant, mais il ne se voyait pas comme tel. Après tout, les portes n’avaient pas à se ressembler. Tout comme les couloirs. Tout était de leur faute et non de la sienne et de sa mémoire possiblement défaillante.
Arrivant à une fenêtre, il en profita pour regarder par cette dernière, dans l’espoir de pouvoir repérer quelque chose d’intéressant, ne serait-ce qu’un indice sur sa position actuelle dans la demeure, et la seule chose qu’il put en retirer, fut qu’il devait descendre d’un étage. Magnifique, il ne restait plus qu’à trouver un escalier. Ils ne devaient plus être très loin. Il n’y aurait aucun intérêt à ce qu’ils se trouvent trop loin. Le brun pris donc de nouveau une direction de manière complètement aléatoire, et chercha pendant cinq bonnes minutes l’escalier, avant d’en trouver un. Bon, ce n’était certainement pas le principal qui donnait dans l’entrée, mais s’en était un, c’était déjà bien.
Une fois qu’il l’eut emprunté, ce qui ne lui prit guère de temps, il se retrouva dans un autre couloir –encore un, décidemment quand arrêteraient-ils de pulluler ?- qui heureusement lui était plus ou moins familier. Finalement, il n’avait pas un si mauvais sens de l’orientation que ça, regardez, il avait parfaitement reconnu l’endroit où il était. Il lui suffisait de prendre la porte à droite pour se retrouver…Pas où il voulait. Très bien, mais ce n’était pas loin, il en était certain. Ce fut donc après une poignée de minutes plutôt éprouvantes – il n’y a rien de plus frustrant que de savoir que l’on est près du but sans pouvoir pour autant l’atteindre- qu’il réussit enfin à gagner son sacro-saint piano. La prochaine fois, il essayerait la méthode du petit Poucet, même s’il ferait d’innombrables détours, le lendemain, ou tout simplement la fois prochaine où il voudrait s’y rendre, il n’aurait qu’à suivre ce qui était par terre. | |
| • Autre ? • | | Grosse patate majeure et vaccinée, ( Ca fait long comme surnom quand même.) ce fut Google qui me montra le chemin de la gloire et la beauté le lien du forum /o! Pour ce qui est du niveau RP, je n'en ai fichtrement aucune idée, je RP depuis un petit bout de temps ( 2008-2009 je croiiis. Dans ces eaux-là.) mais j'ai dû faire des pauses de temps à autres, et je suis une personne qui n'arrive pas à avoir un avis objectif et parfaitement indécise qui ne sait pas prendre de choix donc je vais vous laissez juger par vous-même c: . Et je crois que c'est tout ce que j'ai à dire /o | |
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©La grosse patate majeure et vaccinée. |
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